1. |
Les clefs
03:36
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2. |
On m'appelle le magicien
03:22
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3. |
La Terre c'est t'unamie
02:48
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4. |
Rêver pour elle
04:20
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5. |
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6. |
Adage
03:42
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7. |
Dans un monde de rêves
03:55
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8. |
N'est-il pas mort
04:04
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Il n’est pas mort au jour
Il n’est pas mort de faim
Il n’est pas mort d’amour
Mais il est mort au loin
Au loin si près de vous
Mais vous n’avez rien vu
Car au fond c’était vous
Ceux qui s’éloignaient sans but
C’était presque un enfant
Aussi c’était un homme
La vie de notre temps
Va très vite et les pommes
Pourrissent sans passé
De naissance au printemps
Déjà se sont vieillis
Les rêves d’un enfant
Les rêves de jeunesse
Entre l’espoir des fruits
Et le chant de détresse
Laisse percer l’ennui
L’âge est déjà si vieux
Bien près d’avoir vingt ans
On se meurt on se meurt
Pour survivre aux brisants
N’est-il pas mort au jour
Mais si ! Lorsque la flamme
Transporte la ferveur
Jusqu’à l’autre brasier
Celui qui s’éternise
Dans un peu de fumée
Est un ardent soleil
Comme vivent les âmes
N’est-il pas mort de faim
Mais si ! Quelle fringale
De connaître le vrai
Mouvement des années
Sans doute est-ce un glouton
Celui qui dans un val
Dévore avec son cœur
Son trop besoin d’aimer
A-t-il commis l’erreur
De croire trop aux rêves
Non ! On ne sait presser
Jamais assez la vie
Dans de pauvres baisers
Ne vient qu’une chimère
Certain la mette au monde
D’autres vont l’enterrer
N’est-il pas mort d’amour
Mais si ! Son espérance
C’était l’amour de joie
D’un monde en renouveau
Un amour qui changeait
Un matin en jet d’eau
Et pavoisait le ciel
De l’humaine naissance
… … …
Refrain 1
Il n’est pas mort de faim
Il n’est pas mort au jour
Il n’est pas mort au loin
Mais il est mort d’amour !
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9. |
L'argent
03:05
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10. |
Devenir des étoiles
04:52
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11. |
Mes cahiers
03:42
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12. |
Conscience
04:51
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13. |
Le théâtre de la Butte
04:13
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LE THEATRE DE LA BUTTE Jeudi 16 avril 2009, Chez ma Cousine.
Lui : Le soleil fait flamber le carreau des fenêtres
Les martinets rasant commencent à paraître
Elle : Je t’attends ce soir
Elle : L’ombre des cheminées s’étend sur les pavés
Montmartre doucement entre dans sa soirée
Lui : Je vais te revoir
Elle : Un vieux réverbère qui se croit chez Prévert
Allume son lampion dans les feuillages verts
Lui : Tu m’attends ce soir
Lui : Le portraitiste errant arpente en espérant
Les flâneurs fatigués longent les restaurants
Elle : Je vais te revoir
Dans ce théâtre de nuit
Où chacun joue son rôle
Il y a la vérité de notre amour
Dans ce théâtre de nuit
Chacun tragique ou drôle
Figurant n’est qu’un décor pour notre amour
Elle : La lune projecteur éclaire le théâtre :
Garçons, peintres, chanteurs, tous acteurs de Montmartre
Je t’attends ce soir
Lui : La nuit, la belle nuit des filles peu farouches,
Du café très sucré, des guitares manouches
Je vais te revoir
Elle : Les chaises sur la table et le chat se débine
Les lourds volets de bois par-dessus les vitrines
Je t’attendais ce soir
Lui : Les groupes en manteaux sortent des cabarets
L’enseigne s’est éteint’ le rideau est tombé
Je voulais te revoir
Refrain
Elle : Le dernier autobus passé depuis des heures
Et le dernier taxi dormant rue Ordener
Lui : Je viendrai demain
Lui : Et le dernier moineau niché dans le couvent
Sur le trottoir, couchés, les derniers hurle vents
Elle : Tu viendras demain
Refrain
Dans ce théâtre de nuit.
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14. |
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15. |
L'être à part
04:13
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16. |
Vers d'autres rêves
03:17
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Olivier Rech Vannes, France
J'ai l'âme celte et le cœur marin...
La Nature, l’écologie, la spiritualité et les valeurs humaines ont, avec la musique, les premières places dans ma vie.
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